shut your eyes, let darkness lead the fight. (avery)

crédits©ici/tumblr.

avery haner

he waits the night to see the day
vingt-cinq ans ▲ fiancé ▲ new yorkers

“ Papa was a rolling stone
Prénom(s) Nom : avery haner. avery, quand on l'a jamais vu, on sait jamais s'il s'agot d'un garçon ou d'une fille. mais ses parents, ils voulaient pas connaître le sexe de l'enfant, alors, il ont choisi un prénom mixte. puis avery, on l'appelle plus souvent avy alors bon.
Date et lieu de naissance : il est né en février, dans le froid, dans les flocons même à ce que l'on dit, un certain cinq février, ici même, à new york.
Origines : américaines. il a peut-être un peu de sang italien dans les veines du côté de sa mère.
Orientation sexuelle : avery, il aime les courbes féminines, pulpeuses et le caractère fort des filles.
Etude(s)/métier : un boxeur. un pur, un dur, avec le tempérament qui va, la niaque. pourtant, il semble pas si costaud que ça, mais avy, il devient de plus en plus le coq fou sur lequel on parie, parce qu'il les fait tous tomber dans un ko.
Traits de caractère : avy, c'est un sanguin, un vrai de vrai. il faut pas trop le chercher, sinon, il cogne. mais, c'est aussi un gars loyal, il a qu'une parole, et il est protecteur avec les gens qu'il aime, c'est pour ça qu'il préfère ne pas trop aimer de personnes. il est cynique, certes, mais c'est un farceur qui aime rire pour tout et n'importe quoi. dans ses mauvais jour, avery, il est froid et orgueilleux, c'est pas un méchant, ni un gentil. pas un ange, ni un diable. il est entre les deux, doux un jour, distant un autre jour.

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Une rivalité entre deux grandes agences publicitaires, peut-on vraiment avoir un gagnant? Oh, j'en sais rien et à vrai dire, je m'en fous un peu. Y a toujours eu une sorte de guerre entre les deux agences, des rivalités stupides, comme deux gamins qui voudraient pas s'échanger des cartes. Y aura peut-être pas de gagnants, je vois même pas pourquoi il y en aurait. Chacun fait ce qu'il a à faire de son côté, et c'est très bien comme ça non ? Enfin, j'm'en fous moi, c'est pas moi qui irait bosser là-bas de toute façon, fait être fou pour s'enfermer dans ces bâtiments.
Les Goldens : fauteurs de trouble ou partisans de la vérité ? Sûrement un peu des deux. J'veux dire, faut être un peu perturbé mentalement pour faire ce genre de chose. Faut être pervers pour vouloir révéler des trucs personnels au monde entier. Je les aime pas, ces personnes derrière tout ça. J'aime pas ce qu'ils font et comment ils agissent. Ça me dérangerait pas de les foutre K.O un de ces quatre s'ils pointaient le bout de leur nez, mais ils sont certainement un peu trop lâches, un peu trop bien, cachés dans le noir, pour oser se montrer de toute façon.

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➯ tous les matins, avery se réveille avec un café et le journal. s'il ne fait pas ça, c'est que quelque chose ne va pas. ➯ il a un chien, avec qui il court tous les matins et tous les soirs, il contribue à son entraînement physique. ➯ c'est un grand sportif, il est obligé de l'être en même temps. ➯ il déteste les légumes, en mange seulement quelques uns. ➯ il aime bien la musique, les bons groupes du moment, le rock surtout. ➯ il a une résistance à l'alcool assez impressionnante. ➯ il a horreur des chats, il trouve ça totalement idiot. ➯ il aime la nuit. si bien, que parfois, quand il n'arrive pas à dormir, il sort en ville. ➯ il traîne pas mal dans les bars, avec son pote le whisky quand il a des doutes sur son avenir. ➯ il ne fume pas, hors de question pour lui de se mettre à cette connerie. ➯ il est pas passionné par beaucoup de chose, peut-être les bécanes et la musique un peu. ➯ d'ailleurs, il joue de la guitare à ses heures perdues, il apprend seul, enfin, avec sa fiancée. ➯ il aime sa vie, il l'aime, parce qu'elle lui semble être entre la banalité et l'originalité.

“ Drop of strawberry jam in a glass of milk.
Pseudo, prénom blinded in chains, ou romane, mais c'est moins classe tout de suite.
Comment avez-vous connu le forum? : merci bazzart.
Commentaires : juste le fait que ça se passe dans les années soixante, c'est parfait quoi. puis après le design est sublime. shut your eyes, let darkness lead the fight. (avery) 4115228990

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Avatar : boyd holbrook ce bg.
Autres : franchement, si vous voulez un lien, ou que vous avez une idée, je suis pas contre du tout, au contraire, n'hésitez pas à me mpotter, plus j'ai de liens, mieux je me porte. shut your eyes, let darkness lead the fight. (avery) 2213706185

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“ Money is the anthem of success.

don't like my situation, you don't either
don't wanna look back scared, i will get away
Père en colère, mère sur le point de pleurer, frère aîné les bras croisé. Et Avery. Avery, toujours au milieu de ça. Avery, le vilain petit canard noir, au visage d'ange, au regard bleuté qui parait pourtant si sombre, si mauvais. Ton frère et toi allez honorer les Haner, que cela te plaise ou non, Avery. Un sourire, narquois, naît sur les lèvres du garçon, encore jeune, peut-être trop pour décider de son avenir, voilà pourquoi son père le fait à sa place sûrement. Appuyé contre un mur, il défie son père, pourtant, ce n'est pas comme ça, Avery, qu'il a été élevé. Éduqué dans les règles de l'art, c'est en principe un bon garçon. J'irai pas bosser dans cette agence. Aaron ira si il veut, moi, non. Soupire, veines sur le front du père, prêtes à exploser. Parce que les Haner, c'est ça, c'est Fischer Bowman Ad. depuis sa création. Et papa Haner, il a de la chance d'avoir deux gosses, dont un plus souple que l'autre. Il a de la chance, d'en avoir un prêt à aller passer sa vie dans des bureaux tandis que l'autre rêve de liberté, d'originalité. Avery se tourne vers son frère, toujours les bras croisés. Il a pas dit un mot encore, comme s'il préférait rester soumis aux paroles de leur père. T'iras passer tes journées enfermé dans un énorme building, tu gagneras bien ta vie et tu seras frustré toute ta vie, parce que tu pourras jamais rêver. Mais au moins, papa sera content, ben oui, c'est ce qui compte. Et il a à peine le temps de faire face à son père, qu'il s'en prend une. La gifle résonne dans toute la maison sûrement. La mère porte une main à sa bouche, étouffe un petit cri. Et Avery, il bronche pas. Il a mal, mais le montre pas. Il est comme ça depuis qu'il est tout gamin : un dur, une brute, tête brûlée qui dit même pas mal quand il s'en prend une. Le regard encore plus sombre, ses yeux océan semblent s'être grisés. Les Haner. Famille qui semble pourtant si harmonieuse. Monsieur et Madame Haner, amoureux pour toujours, belle situation, avec deux enfants plus intelligents que la moyenne, que demander de mieux, pas vrai ? Il a fallu que Avery joue au rebelle. Mais Avery, il veut pas de tout ça. De la condition de papa, il veut pas aller dans cette agence où personnes hautaines se disent bonjour avec un sourire faux, parce qu'au fond, elles se détestent. Avery, il veut pas. Avery, il veut vivre pour lui, faire l'égoïste. Avery, il veut devenir comme ces gars dans les rings. Foutre des coups de poings, s'imposer, gagner. Papa Haner ne devrait pas s'inquiéter, son second fils deviendra lui aussi un véritable loup, mais pas dans une agence. Non, lui, ça sera un loup dans ces salles remplies d'hommes et femmes en train de cracher leurs poumons en criant, en encourageant le boxeur qui mérite de gagner. Mais ça, c'est pas un métier honorable, c'est sale, grossier. C'est pas digne des Haner.

close your eyes, walk with me, i set you free
and everything you ask for
Trois coups à la porte en bois, et il attend. Chapeau vissé sur la tête, cachant ses cheveux blonds, ses yeux océan, l'hématome sous son œil gauche, la plaie à l'arcade. Il perd patience quand la porte s'ouvre sur Joan. Joan. La plus belle fille qu'il n'ait jamais vu. Joan, cette fille, trop jeune pour être appelée madame, et pourtant. Ave... Elle regarde derrière elle, sort et ferme la porte, pousse Avery hors de vu de n'importe quelle fenêtre. T'as pas le droit de venir là ! Tu le sais ! Il ne dit rien, garde juste son sourire narquois, puis, enlève son chapeau. Il est bien amoché, cette fois. Mais c'est les risques du métiers. Il a mis K.O l'autre boxeur, mais s'est pris pas mal de coups avant d'y arriver. Avy bon sang ! Regarde-toi... Du bout de ses doigts froids, elle touche le cocard bleuté sous l'œil du boxeur, ça lui fait fermer les yeux, froncer les sourcils. Parce qu'il a mal, rien qu'un peu, comme il dirait. Quand il ouvre les yeux à nouveau, il la voit, l'inquiétude dans ses yeux. Monsieur Haner, j'adore quand vous jouez au caïd, mais- Quitte-le, Jo. Avery, quand il dit ça, il est sérieux. Et il est amoureux, même fou, raide dingue de Joan, ça se lit dans le regard du boxeur. Il est encore plus amoureux quand elle le regarde comme ça, entre l'énervement et l'incompréhension. Il sait bien, Avery, qu'elle est pas heureuse avec ce gars, trop superflu, trop matuvu, dans cette agence, lui aussi. Il est pas assez bien pour elle. Personne n'est assez bien pour elle, encore moins lui. Quitte-le, je le connais, je te connais. Et je sais que ça va pas, que ça ira jamais, parce que t'es pas comme lui, t'es plus libre dans ta tête que lui, tu le seras toujours plus, Jo. Une gifle l'arrête, lui rappelle combien il a eu du mal à mettre K.O ce boxeur. T'as pas à me dire ce que je dois faire. Je peux pas le quitter et partir comme une voleuse, c'est pas possible, mal vu. Je peux pas faire comme toi, partir, me foutre de tout. On peut pas tous faire ça, Avy. Une larme perle sur sa joue droite, tandis que Avery ne bronche pas, comme toujours. Il encaisse, l'amoureux, il se tait, l'amant. Un hochement de tête vers le bas, un raclement de gorge, un regard gris, et il l'ouvre finalement. Très bien. T'as raison, reste enfermée dans une vie dont t'as horreur. Moi j'me tire, parce que j'en ai ma claque de passer pour le connard de l'histoire. Il remet son chapeau et tourne les talons. C'est pas son genre, de planter Joan comme ça. Il l'a jamais fait, mais c'en est peu-être trop pour lui. Avery, il voudrait bien emmener Joan, loin. Loin de sa vie, loin de New-York ou du moins, de son fiancé, parce qu'il la prend pour une esclave. Une femme bonne a rester aux fourneaux. Et Joan, elle mérite mieux. Elle a toujours rêvé d'une vie plus folle, pas de rester cloîtrée dans une maison.

need no one to comply with me though everyone that i defeat
don't need you, fuck camaraderie, this rage will never go away
Crochet, crochet, uppercut, la garde, toujours la garde, et le style, toujours le style. Il souffle, sautille, et enchaîne le gars avec un side-kick, ça propulse l'adversaire dans les cordes, et Avery, il en profite. Gauche, droite, gauche, droite, comme une machine de guerre. C'est terminé pour l'autre boxeur, terminé. Il va s'effondrer d'une minute à l'autre. Avery, il est dans le truc, pris dans sa folie et sa rage de le foutre K.O. Il entend même plus les cris autour de lui, il voit plus rien, juste ce type face à lui, nez fragilisé. Il en fout presque une à l'arbitre quand il s'approche pour le forcer à l'arrêter de taper. On dirait pas comme ça, Avery, qu'il est doué. On dirait pas qu'en fait, c'est un bon dans ce sport. Le gars est au sol, se relève pas, et Avery comprend. Gagné, trop facile. L'arbitre attrape son poignet, lui fait lever le bras vers le haut, vers ce plafond pourri, et la foule crie. Avery capte pas d'abord. Il comprend pas qu'on crie son nom, puis il voit Joan, à moitié heureuse, à moitié inquiète. Il peut pas lui sourire lui, pour la rassurer, parce qu'il a son protège-dent qui l'en empêche.
Puis très vite, il se retrouve dans le vestiaire, mains dans des seaux de glace, pieds aussi d'ailleurs. Et elle déboule, comme elle le fait toujours après chaque match. Joan, sa Joan, qu'il a difficilement eu pour lui. Il sourit en la voyant, et ça lui fait mal, ça tire. Il a les joues enflées, rougies. Ouais, ça fait mal. Avy regarde-toi ! Un soupire, des yeux levés au ciel. Si t'es venue pour me dire ça, tu peux repartir. Elle s'indigne, se redresse, bien droite, bien bourgeoise, tout ce qu'elle n'est pas. Et lui, assis sur son banc, il la regarde, un œil au beurre noir. Il fait mal à voir. Arrête de me parler comme si j'étais qu'une chienne. Il passe ses mains gelées sur son coup, las de l'entendre dire n'importe quoi, mais ne répond rien. Il sait bien, pourtant, que Joan, elle aime pas parler à un mur. T'es en train de prendre la grosses tête, tu sais ? Fais gaffe, Avery, tu vas tout perdre. Elle rigole pas, Joan. Et Avery, il le voit, il le sent. Il en a tellement chié pour l'avoir, pour qu'elle soit à lui, la jolie Joan, que là, dans sa tête, c'est la panique. Alors, il se lève, un peu sous pression, un peu paumé. Il est imposant, quand même, Avery. Surtout lorsqu'il sort d'un combat. Il s'approche de Joan, l'air menaçant. Mais elle a pas peur, jamais. Puis, il pourrait pas lui faire de mal. Je sors d'un match, et tout ce que tu trouves à me dire, c'est que je vais tout perdre ? T'as pas envie de me dire un truc agréable pour une fois ? Rien qu'une putain de fois, Joan ! A son tour, il crie. Il a de la voix, on pourrait même croire qu'il crie plus fort que la foule. La gifle s'abat sur sa joue bousillée. Ça le brûle et il a subitement envie de la tuer, mais il reste le plus calme possible, serrant les poings, crispant sa mâchoire. T'es un crétin égocentrique aveuglé par la victoire, par la violence ! T'es plus le Avery dont je suis tombée amoureuse, tu vois ? Il voit. Ou non. Il voit pas du tout en fait. Un crétin égocentrique ? Rien que ça ? Il rit, ironiquement, pour provoquer peut-être, mais elle, ça la fait pas rire. Elle, ça la fait partir, ça lui fait claquer la porte. Et là, Avery, il est tout seul maintenant, tout seul face à ses gants de boxe. Et c'est bien les seules choses qui l'ont jamais abandonné.

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Boyd est un superbe choix shut your eyes, let darkness lead the fight. (avery) 3825880576

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Il est à toi pour une durée de 5 jours et réserve moi un lien si tu veux bien ? shut your eyes, let darkness lead the fight. (avery) 2961306663

merci beaucoup !
et pour le lien, c'est avec grand plaisir, jlaw quoi. shut your eyes, let darkness lead the fight. (avery) 622554937

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Invité

bienvenue et bonne chance pour ta fiche

tyler.

merci.

Boyd

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Boyd

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